A MONTLHERY AVEC LE LCF
(sortie du 14 Juillet 2002)

    Il fut un temps où le GP. de l'Âge d'Or attirait de nombreux lancistes qui au long de ses deux journées appréciaient de se retrouver avec leurs voitures dans l'enceinte de leur Club favori qui leur offrait un accueil de qualité avec tables et sièges, abri, victuailles et rafraîchissement, tandis que quelques dîners méchouis de 50 couverts le samedi soir sont encore dans les mémoires.
    Puis sans doute par désaffection pour la manifestation elle-même qui ne se renouvelait guère, les participations se firent plus rares et la tradition se perdit un peu, la faute aussi à unecertaine lassitude de deux Membres du Bureau se sentant un peu trop seuls à se dépenser pour maintenir une organisation assez lourde...
    Cette année, grâce à Jean-Paul Clerton et sa famille, assistés avec efficacité par Frédéric Ferrino - le Club les remercie ! - la relève a été assurée et de nombreux lancistes ont ainsi pris ou repris fin Juin le chemin du Plateau de Saint-Eutrope et a pu se retrouver, se restaurer, et certains camper dans un espace Club accueillant et bien situé, bien que d'une surface très chichement mesurée permettant avec peine de stationner six voitures, sans aucun rapport avec la vingtaine de Lancia présentes, le nombre de billets achetés et les promesses faites.
    Les campeurs n'en ont pas moins eu leur petit déjeuner avec croissants chauds servi au lit - enfin presque - 60 repas au total ayant été servis, un peu plus de 20 litres de vin descendus et tout à l'avenant.
    Mais une fois de plus, le matériel loué - à pris d'or, comme il se doit à l'Âge d'Or - ne correspondait pas à celui réservé ... - Sur de trop nombreux points, les organisateurs ne tiennent toujours pas leurs engagements et continuent de traiter avec la plus grande désinvolture et par dessus la jambe ces Clubs qui ont l'outrecuidance de leur amener des voitures de qualité et des spectateurs assidus, contribuant pour une très grande part au succès populaire de leur manifestation !
    - Cela durera-t-il aussi longtemps que les impôts ?